Le dimanche 2 février, la divine Liturgie a été célébrée avec une ferveur toute particulière dans la crypte de Saint-Victor de Marseille, dans l’église homonyme, fondée en tant que monastère par saint Jean Cassien.
Saint Jean Cassien était le diacre de saint Jean Chrysostome et avait été envoyé par le saint Pape Léon de Rome à Marseille afin de développer le monachisme oriental en Occident.
La Liturgie était présidée par l’évêque Maxime de Mélitène, avec la participation des archimandrites Joachim (Tsopanoglou), Dimitri (Ploumis) et Sébastien (Garnier), du prêtre Jean Garrigou et du diacre Chrysostome Rey.
Saint Victor est l’un des saints patrons de Marseille et ses reliques ainsi que celles de saint Jean Cassien sont conservées dans l’église paléochrétienne, ainsi que de nombreuses autres reliques sacrées. Ces derniers jours, des milliers de pèlerins venus de tout le sud de la France se sont rassemblés pour vénérer le lieu du martyre de ce grand saint.
Il est particulièrement intéressant de rappeler que la croix de Saint-André qui était conservée depuis les croisades dans la crypte de Saint-Victor, a été restituée à la suite de la demande de Mgr Mélétios, alors métropolite de France, à Mgr Roger Etchegaray, alors archevêque catholique de Marseille. La croix a été rendue à la métropole patriarcale de Patras, où elle est aujourd’hui conservée dans l’église homonyme de Patras. Une icône byzantine du martyre du saint apôtre, offerte par la sainte métropole de Patras, a été placée à l’endroit de la crypte où la croix de Saint-André était conservée.
Saint Jean Cassien était le diacre de saint Jean Chrysostome et avait été envoyé par le saint Pape Léon de Rome à Marseille afin de développer le monachisme oriental en Occident.
La Liturgie était présidée par l’évêque Maxime de Mélitène, avec la participation des archimandrites Joachim (Tsopanoglou), Dimitri (Ploumis) et Sébastien (Garnier), du prêtre Jean Garrigou et du diacre Chrysostome Rey.
Saint Victor est l’un des saints patrons de Marseille et ses reliques ainsi que celles de saint Jean Cassien sont conservées dans l’église paléochrétienne, ainsi que de nombreuses autres reliques sacrées. Ces derniers jours, des milliers de pèlerins venus de tout le sud de la France se sont rassemblés pour vénérer le lieu du martyre de ce grand saint.
Il est particulièrement intéressant de rappeler que la croix de Saint-André qui était conservée depuis les croisades dans la crypte de Saint-Victor, a été restituée à la suite de la demande de Mgr Mélétios, alors métropolite de France, à Mgr Roger Etchegaray, alors archevêque catholique de Marseille. La croix a été rendue à la métropole patriarcale de Patras, où elle est aujourd’hui conservée dans l’église homonyme de Patras. Une icône byzantine du martyre du saint apôtre, offerte par la sainte métropole de Patras, a été placée à l’endroit de la crypte où la croix de Saint-André était conservée.
Chaque année, les communautés orthodoxes locales célèbrent la Liturgie dans cette crypte à l’occasion de la Sainte-Rencontre ou de la fête de l’apôtre André.
Source et photos supplémentaires
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire