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samedi 9 mai 2015

Orthodoxie : Commémoration du Père Serge (Chevitch)


Nous vous proposons de voir ou revoir sur notre chaîne youtube cette émission Orthodoxie (Fr2) consacrée à la "Commémoration du 20e anniversaire de la mort du père Serge (Chevitch)" en 2007.

vendredi 13 juin 2014

Un exposé de J.C. Larchet à l’église orthodoxe de la Sainte-Trinité à Vanves, dimanche 15 juin


Le dimanche 15 juin à 14h30, la paroisse orthodoxe de la Sainte Trinité à Vanves accueillera Jean-Claude Larchet pour un exposé sur « La sainteté du starets Serge (Chévitch) et son rayonnement actuel dans le monde orthodoxe ».

Adresse: 16, rue Michel-Ange, 92170 Vanves. Métro Malakoff-Plateau de Vanves ou Porte de Versailles.

Entrée libre.

Source: Orthodoxie.com

mardi 10 juin 2014

Un maître de sagesse vanvéen : soirée à la mémoire du starets Serge Chévitch


"Un maître de sagesse vanvéen : soirée à la mémoire du starets Serge Chévitch à Vanves" 

Le 16 mai 2014, une soirée à la mémoire du père Serge Chévitch (1903-1987) a eu lieu dans la salle Palestre en face de la Mairie de la ville de Vanves. Cette rencontre a commencé par une introduction du père Jean-Michel Rousseau, recteur de la paroisse Sainte-Trinité à Vanves, que le père Serge Chévitch desservait jusqu’à sa mort. Dans son discours, le père Michel a présenté les quatre conférenciers de la soirée et le livre de Jean-Claude Larchet Le Starets Serge.

Parlons d'Orthodoxie publie le texte de l'intervention d’Émilie van Taack , fille spirituelle du père Serge

LE PERE SERGE ET SES ENFANTS SPIRITUELS

Père Serge fut véritablement un PERE, dans le sens le plus filial du terme.
Il a adopté un certain nombre de personnes et son amour en a fait ses enfants, avant que des disciples. 

Émilie van Taack : LE PERE SERGE ET SES ENFANTS SPIRITUELS
De même que les enfants ne sont pas toujours ressemblants à leurs parents, de même ses enfants ont chacun suivi la voie qui était la leur devant Dieu; père Serge en ce sens les a véritablement engendrés, au sens fort du terme, en en faisant des personnes libres et uniques devant Dieu.

On m'a suggéré de parler de la méthode suivie par père Serge dans sa direction spirituelle. En fait, il n'avait pas de méthode, mais seulement l'Evangile, le Christ lui même.

Il était lui-même le fils spirituel de l'archimandrite Athanase (Netchaev) qui fut aussi le père spirituel d'Andrey Bloom, le futur métropolite Antoine, de Léonide Ouspensky et de bien d'autres à la paroisse des Trois Saints Hiérarques. Une courte citation de monseigneur Antoine vous fera tout de suite comprendre qui était père Athanase:

"Après mes vœux, il continua à veiller, mais toujours à sa manière; je le rencontrai une fois dans la rue, lorsqu'il attendait un autobus; je m'approchais de lui: "Père Athanase, vous avez reçu mes vœux, mais vous ne m'avez pas donné de règle de prière"... Il me répondit: "Quelle règle te faut-il? Maintenant tu es moine - prie sans cesse!"
Le métropolite ajoute:
"Il ne me donna pas de règle: cherche, essaie de trouver par toi-même... (...): c'est votre vie spirituelle, vous connaissez Dieu à votre manière, alors trouvez Le à votre manière..."

Père Serge lui aussi était un veilleur. 
On ne peut être plus différent de monseigneur Antoine que ne l'était père Serge. Mais comme le père Athanase, le père Serge n'avait aucune recette, seulement le don de soi, absolu à Dieu et à son frère.

Sur cette Voie-là, si le don doit bien être absolu, il n'y a pas de règle, pas d'autre choix que "être soi-même", sur le grand comme sur le petit versant de notre nature.
Le commandement du Christ qui caractérise le chemin personnel du père Serge est à mon avis celui-ci: "Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis." 

Émilie van Taack : LE PERE SERGE ET SES ENFANTS SPIRITUELS
"Il n'est pas permis d'aimer sincèrement le Créateur, écrit père Serge à une fille spirituelle, sans aimer l'œuvre de Ses mains. Aimez ceux qui vous entourent: c'est cela aussi la prière de Jésus. Avec chaque effort dans cette direction, tout de suite, de votre cœur jaillira "la source d'eau vive jaillissant jusque dans la vie éternelle". C'est cela l'amour de Dieu, la toute-allégresse du Saint Esprit, et la prière incessante ."

Père Serge a rencontré le père Grégoire (Kroug) et il s'est entièrement dévoué à lui, il s'est consacré à lui de tout son être. Il a modelé sa vie sur les besoins spirituels de père Grégoire, sur ce qui était nécessaire à son salut.

On peut mesurer ce don de soi quand on voit combien père Serge était florissant lorsqu'il est devenu prêtre, mais combien il s'était épuisé quand, trois ans plus tard, il a tonsuré moine père Grégoire. On sait que ce dernier, pendant la guerre, avait souffert de troubles qu'on dirait aujourd'hui psychiques. En fait, il s'agissait de troubles spirituels. Mais, à cause de cela, durant plusieurs années, père Grégoire avait vécu l'enfer. Aussi père Serge jugea-t-il nécessaire de le préparer au monachisme en lui assurant la paix de l'âme. Il lui évita ce qui aurait pu provoquer des rechutes et lui causer des dommages irréparables, en prenant sur lui-même les tentations qui devaient assaillir le novice.

Il n'y a pas eu de développement monastique autour du père Serge durant sa vie à cause de cela. A cela aussi il a lié son combat pour l'humilité: il se considérait comme un simple "compagnon de route", un "conseiller".

"Allez librement [vers le Christ. Sachez que c'est Lui notre Conducteur principal, notre Directeur et notre Maître, que tous les directeurs et les conducteurs d'ici-bas sont seulement des compagnons de voyage sur ce chemin et des conseillers - et rien de plus. Nous ne sommes en rien obligés vis à vis d'eux, ni eux vis à vis de nous."

Le père Serge est ainsi devenu le spécialiste des causes perdues, le médecin des cas désespérés. Sa méthode, il vaudrait mieux dire sa manière d'être, était différente avec chacun. Quand d'autres que père Grégoire lui ont été envoyées, il s'est consacré à eux avec le même dévouement, il a infléchi son orientation en fonction des besoins spirituels de ces personnes.

Par exemple, il rappelait quotidiennement à l'un d'entre eux qu'il lisait chaque jour "trente pages d'exorcismes" à son endroit, afin qu'il veillât sur lui-même avec le même soin qu'il mettait lui-même à le protéger. Si l'on a pris connaissance du poids spirituel que représente la lecture quotidienne de ces prières, on peut juger par là combien il consacrait sa vie à son enfant. 

Je me souviens d'avoir entendu de lui un grand nombre de fois, moi qui lui demandait toujours des solutions toutes faites et des recettes:
"Mais voyons! Vous conduisez, n'est-ce pas? Sur la route, vous ne tournez pas systématiquement à droite ou à gauche! Vous tournez votre volant en fonction de la route qui s'ouvre devant vous, tantôt dans un sens, tantôt dans l'autre! Dans la vie spirituelle, il en est de même! Voyez vous-même, dans chaque cas, dans quel sens vous devez tourner!"

Une telle humilité et une telle consécration à l'autre est irrésistible. Ce à quoi, il faut ajouter sa grâce, sa joie, sa lumière, sa légèreté, son amour spirituel, son extraordinaire beauté - son visage rayonnait d'une telle beauté invisible! Il était une véritable icône vivante! Auprès de lui la prière coulait toute seule! Sa seule vue chassait les tentations. Sa présence apportait instantanément la paix et l'ardeur au travail pour le Christ : l'eau de notre âme, toute troublée qu'elle soit, devenait instantanément claire! Les paroles en devenaient même inutiles ensuite : se confesser consistait souvent à se rappeler ce qu'on avait écrit chez soi, car il ne restait plus rien de la difficulté, de la souffrance, du découragement, des complications imaginées! En ce sens, il obtenait des miracles des fidèles qui venaient à lui. Son amour et sa prières les rendaient capables d'accomplir des choses qui leur auraient paru absolument impossibles et irréalisables, qu'ils ne se seraient jamais crus capables de faire. L'Evangile ou rien!

Aussi insistait-il sur le fait de ne jamais se résoudre à choisir de deux maux le moindre. Il fallait toujours prier Dieu pour éviter et l'un, et l'autre mal et agir en conséquence.

Je voudrais conclure ainsi : père Serge a été vraiment un Apôtre du Christ.


Le groupe qui a fondé la paroisse des Trois Saints Hiérarques avait centré sa prière et son action sur l'Apostolat: prêcher l'Orthodoxie à l'Occident. Père Grégoire considérait lui-même le travail des émigrés russes en France de cette manière. C'est pour cela qu'il a représenté non seulement les Apôtres, sur les fresques qu'il y a peintes, mais qu'il a représenté les Anges et les Saints avec la même bande de mission qui est en principe réservée au Christ et aux Apôtres.

Père Serge, comme saint Paul est celui qui a engendré ses enfants:
"Je vous avertis comme mes enfants bienaimés. Car quand vous auriez dix mille maîtres en Christ, vous n'avez cependant pas plusieurs Pères puisque c'est moi qui vous ai engendrés en Jésus-Christ par l'Evangile. Je vous conjure donc, soyez mes imitateurs. "
Mais si vous vous souvenez bien, ce passage de la Première Epitre aux Corinthiens est précédé par quelques expressions très fortes par lesquelles saint Paul décrit la condition d'Apôtre:

" Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes. Nous sommes fous à cause de Christ; mais vous, vous êtes sages en Christ; nous sommes faibles, mais vous êtes forts. Vous êtes honorés et nous sommes méprisés! ...Nous sommes devenus comme les balayures du monde et le rebut de tous..." 

Tel était père Serge au moment de sa mort.

Il me semble que père Serge a récolté les fruits sur cette terre à travers ses disciples.
Il est Lui-même mort dans la pauvreté du Christ sur la Croix.
Mais il est ressuscité avec Lui!

Notes
1. "L'archimandrite Athanase", in Messager de l'Exarchat du Patriarche de Moscou en Europe occidentale, n° 105-108, 1980-1981, p. 31.
2. Saint Jean, 15,13.

3. En russe: обвеселение
4. Lettres à une fille spirituelle, Fragment n°4.
5. Lettres à une fille spirituelle, Fragment n°10.
6. 1 Corinthiens 4, 14-15.
7. Ibid., 4, 9-10; 4,13.

Photo prise le 30 Novembre 1957 devant l'entrée de l'église des Trois Saints Hiérarques, à l'occasion de la consécration de Monseigneur Antoine Bloom (quatrième à partir de la droite, imberbe). Le Père Sophrony et le Père Serge sont en deuxième et quatrième position à partir de la gauche. 

mercredi 28 mai 2014

Le starets Serge

A l'occasion de la soirée en l'honneur du père Serge Chévitch, il y a quelques jours, rappelons l'excellent livre de Jean-Claude Larchet "Le starets Serge" paru aux éditions du Cerf en 2004.


Résumé de l'éditeur :
Correspondant de saint Silouane et du célèbre Higoumène Chariton de Valaam, ami de Jacques Maritain, Louis Massignon, Olivier Lacombe, Charles du Bos, Emmanuel Mounier et Gabriel Marcel, père spirituel de Nicolas Berdiaev, de Vladimir Lossky et du grand iconographe Grégoire Kroug, le Starets Serge Chévitch (1903-1987) fut l'une des figures les plus charismatiques et les plus lumineuses de l'émigration russe et de l'Église orthodoxe en Occident. Cet ouvrage présente la vie, la personnalité et l'enseignement de ce grand spirituel. Un enseignement simple, très concret, proche des sources évangéliques et patristiques, et profondément ancré dans l'expérience intérieure de « la vie en Christ », dont pourront tirer profit tous les chrétiens soucieux d'approfondir au quotidien leur vie spirituelle.

Table des matières ici.


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Ci-dessous les recensions des éditions Allemande et Anglaise de cet ouvrage publiées sur Orthodoxie.com :

Les éditions du monastère Saint Job de Pocaev à Munich (Allemagne) ont récemment publié, sous le titre « Starez Sergij », une traduction allemande du livre de Jean-Claude Larchet, « Le starets Serge », avec la bénédiction de S. E. l’archevêque Mark (Arndt), évêque du diocèse d’Allemagne de l’Église russe hors frontières qui regroupe la quasi totalité des fidèles russes résidant en Allemagne (où plus de deux millions de russes-allemands ont émigré à partir de 1980) et possède dans ce pays l’ensemble des églises historiques.
Le starets Serge (l’archimandrite Serge [Schevitch], 1903-1987), qui a vécu près de Paris, fut le recteur de la paroisse de Vanves et l’higoumène du skit du Saint-Esprit au Mesnil-Saint-Denis (sous la juridiction du Patriarcat de Moscou), est, avec le starets Sophrony d’Essex, l’une des plus éminentes figures spirituelles de l’émigration russe en Europe au XXe siècle. Sa personnalité et son enseignement présentent de nombreux points communs avec ceux du starets Alexis Métchev, sur lequel un livre vient d’être publié aux éditions L’Age d’Homme ; c’est l’une des raisons pour lesquelles Nicolas Berdiaev, qui avait été en Russie le fils spirituel du starets Alexis, choisit le starets Serge comme père spirituel lors de son séjour en France.
Le livre sur le starets Serge, dont l’édition originale a paru aux éditions du Cerf, a déjà été traduit en Russie (où la première édition, de 20 000 exemplaires, est épuisée), en Roumanie, en Serbie et en Grèce (avec, dans chaque cas, plusieurs éditions). Les nombreux articles publiés dans des revues et dans des notes que l’on peut trouver sur le web émanant de ces différents pays, ainsi que les conseils de lecture qu’y donnent de nombreux pères spirituels, témoignent du rayonnement international de cette grande personnalité spirituelle dont le patriarche Alexis II, lors de son dernier voyage en France, disait qu’elle restait pour lui l’une des plus inoubliables.

http://www.orthodoxie.com/lire/livres/le-livre-de-jean-claude-larchet-le-starets-serge-traduit-en-allemand/

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Sous le titre « Elder Sergei of Vanves. Life and Teachings », les éditions américaines « Divine Ascent » viennent de publier la traduction anglaise du livre de Jean-Claude Larchet « Le starets Serge » (Cerf).
Cette édition américaine, dont l’initiative revient au métropolite Jonah, primat de l’Église Orthodoxe d’Amérique (OCA) et dont la traduction a été assurée par les moines du monastère Saint-Jean-de-Changhaï à Manton (Californie), vient à la suite des éditions grecque, russe, serbe, roumaine et allemande. L’archimandrite Serge Chévitch (1903-1987) fut pendant plusieurs décennies le recteur de la paroisse de la Sainte-Trinité à Vanves (Hauts-de-Seine) et  l’higoumène du skit du Saint-Esprit à Le-Mesnil-Saint-Denis (Yvelines). Le texte de présentation note qu’ « il fut l’une des personnalités les plus charismatiques au XXe siècle en Europe occidentale », qu’ « en lui les saintes traditions de l’Ancien Valaam vont à la rencontre l’Occident post-chrétien ».
Dans l’une des premières réactions à l’édition américaine on peut lire : « Ce livre est un must. Les paroles du Starets Serge se lisent comme celles de l’Évangile. On peut sentir chez le starets la même grâce, le même esprit qui imprègnent la vie et les enseignements de saint Silouane et de son disciple, l’Archimandrite Sophony, qui sans aucun doute est aussi un saint. Ce sont des saints du XXe siècle, des preuves vivantes que la lignée charismatique transmise de génération en génération depuis le Christ et les Apôtres jusqu’aux saints hommes et femmes de notre temps a été préservée intacte et sans interruption ; que la tradition et la foi qui ont été confiées aux saints est toujours vivante et a le pouvoir de sanctifier et de transformer l’homme ».

http://www.orthodoxie.com/lire/livres-elder-sergei-of-vanves-life-and-teachings-le-starets-serge-de-vanves-vie-et-enseignements/

dimanche 25 mai 2014

Soirée à la mémoire du starets Serge / Compte-rendu

Un maître de sagesse vanvéen : soirée à la mémoire du starets Serge Chévitch à Vanves 


Le 16 mai 2014, une soirée à la mémoire du père Serge Chévitch (1903-1987) a eu lieu dans la salle Palestre en face de la Mairie de la ville de Vanves. Cette rencontre a commencé par une introduction du père Jean-Michel Rousseau, recteur de la paroisse Sainte-Trinité à Vanves, que le père Serge Chévitch desservait jusqu’à sa mort. Dans son discours, le père Michel a présenté les quatre conférenciers de la soirée et le livre de Jean-Claude Larchet Le Starets Serge.

 Après le père Michel, les invités ont eu la possibilité de présenter la vie et l'enseignement du starets Serge lors des trois courtes conférences. Le premier à prendre la parole fut le père Cyrille Kiselev, recteur de l’école orthodoxe Saint-Serge à Sviblovo (région de Moscou). Dans son discours, il a raconté la vie du starets et a présenté ensuite des courts conseils spirituels du père Serge qui furent récités par les élèves de cette école orthodoxe.

 Le deuxième qui a pris la parole était Mathieu Hercberg, paroissien de l’église de Vanves et représentant du groupe des jeunes orthodoxes. Sa conférence, accompagnée de projection des diapositives, était consacrée aux valeurs et à la sagesse du starets. Le troisième discours fut prononcé par Mme Émilie van Taack, dont le starets Serge Chevitch fut le directeur spirituel; il était intitulé « Le père Serge comme père spirituel ».

Enfin, M. Jean-Claude Larchet, écrivain orthodoxe, a répondu à une question « Comment peut-on rester enfant en étant déjà adulte : sur l’exemple du père Serge ? » posée par le père Cyrille Kiselev. A la fin de ces conférences, le maire de Vanves, M. Bernard Gauducheau, est intervenu. Il a partagé ses impressions sur la lecture du livre Le Starets Serge.

 Dans la deuxième partie de cette soirée, les hôtes ont pu entendre un concert des chants liturgiques interprétés par trois chorales orthodoxes : Chersonèse (du diocèse de Chersonèse), le chœur Kedroff (l'église Saint-Alexandre-Nevskiy à Paris) et la chorale des enfants de l’école orthodoxe Saint-Serge de Sviblovo. A la fin de la soirée, tous les choristes sont montés sur la scène pour chanter ensembre le chant traditionnel russe « Mnogaya leta » (« De longues années »).

Alexis Morozov

Album de photographies de la soirée

lundi 12 mai 2014

Soirée à la mémoire du P. Serge Chévitch


La paroisse Sainte-Trinité et Nouveaux-Martyrs de Vanves organise une soirée exceptionnelle autour de la vie et de l'enseignement du starets Serge Chevitch le vendredi 16 mai à 19 h 30 (salle Palestre, en face de la Mairie).

Cet événement a lieu avec la bénédiction de Monseigneur NESTOR , évêque de Chersonèse.

Le père Serge a marqué l'orthodoxie en France et le livre que Jean-Claude Larchet lui a consacré en témoigne.

Elle comportera dans une première partie : 1) une intervention des élèves de l'école orthodoxe Saint-Serge de Sviblovo (Moscou), qui, depuis quelques mois, font un travail sur la personnalité et l'enseignement spirituel de l'Archimandrite Serge ; 2) un témoignage d'un jeune orthodoxe sur l'apport du Père Serge à sa vie spirituelle personnelle et paroissiale ; 3) un exposé-témoignage d'Émilie van Taack : "Les enfants du Père Serge" ; 4) une intervention de Jean-Claude Larchet, auteur du livre Le Starets Serge (éditions du Cerf).

La seconde partie fera place à un concert spirituel, d'une durée d'environ une heure, donné successivement par le chœur de l'église de la Vivifiante-Trinité de Sviblovo sous la direction d’André Guerasimenko, l'ensemble vocal Chersonèse sous la direction de Maria Kondrachkova, et  le Chœur de la Cathédrale Saint Alexandre Nevski sous la direction d'Alexandre Kedroff.
Cet événement est organisé par la paroisse de la Sainte-Trinité de Vanves et par l'association orthodoxe "Vie et croissance", en partenariat avec la ville de Vanves.

Source : 1 et 2.