« Nous, Romains… » Réflexions sur les origines orthodoxes de la France, Archimandrite Placide Deseille, Ed. Monastère St-Antoine-le-Grand - Monastère de Solan, 20 pages.
La première erreur serait de considérer l’Empire byzantin comme un empire d’Orient, qui aurait toujours été plus ou moins étranger à nos régions occidentales. En réalité, et très particulièrement pendant la période qui nous intéresse ici, il n’y a pas eu d’ « Empire byzantin » : il n’existait que l’Empire romain, qui n’était ni oriental, ni occidental, mais aspirait, selon le mot du gallo-romain Rutilius Namatianus, à « faire de l’univers divisé une seule cité ». La christianisation de l’Empire, après la conversion de Constantin (312), n’avait fait que renforcer ce caractère universaliste, en faisant de cet Empire comme l’incarnation terrestre du Peuple de Dieu répandu dans tout l’univers.
Les différentes parties du fascicule sont :
La Gaule romaine et chrétienne, La Gaule mérovingienne, Les Carolingiens et la rupture de l’unité spirituelle de l’Europe, « Roma æterna ».
Fascicule disponible dans les librairies monastiques des metochions de Simonos-Petra en France (Monastères de Saint-Antoine-le-Grand (Vercors), de la Transfiguration (Terrasson - Dordogne), et de Solan).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire